Mylène FARMER : record historique pour Timeless au Cinéma, notre review

Record historique pour la diffusion au cinéma hier soir du film Timeless 2013, film souvenir de la dernière tournée de Mylène FARMER.

 

101 107 spectateurs ont assisté à la projection hier à travers 230 cinémas en France, Suisse, Belgique et nous y étions aussi.

Premier constat : la réalisation de François Hanss est un vrai plaisir visuel et auditif pour qui a vu le concert. Exit les longues plages d’attente entre chaque titre. Le montage est soigné, dynamique (sans pour autant tomber dans le montage épileptique tel qu’a pu l’être le dernier live MDNA Tour de Madonna par exemple). 

Deuxième constat : force est de constater que cette tournée Timeless 2013 était une prouesse technologique remarquable. L’ingéniosité de Mylène FARMER et de son équipe prend tout son sens pendant plus de 2h : excellent rendu des lumières, du décor (l’entrée en scène est superbement mise en image), et que dire des « filles » (les robots) ?! Le prologue sur « C’est une belle journée » est déjà un joli moment. Mylène joue de regards, de sourires, humanisant presque ces bras articulés, effet appuyé (et l’idée était astucieuse !) par des caméras insérées dans leurs orbites livrant donc des images filmées de la scène tant du public, de la salle, que de Mylène elle même. Et la séquence du Timeless Ballet fournit le reste : un moment visuellement impressionnant. Entre lumières démentielles, musique électrisante, le rendu est incroyable. Autre bon point, la partie « ballades ». Sur place, ce moment là du show, un poil long, pouvait paraître lancinant et rasoir. Sur le futur DVD/BR, il n’en est rien ! Fondus, plans serrés, plans larges, quelques plans publics (dont les réactions parfois excessives peuvent devenir agaçantes…) et le tour est joué. L’émotion est là. (Les deux duos avec Gary Jules restant le meilleur passage). 

Petite déception sur « Bleu Noir », « Monkey Me » et « Elle a dit » qui paraissent presque inutiles. Pour le reste, on retrouve l’intégralité du show et la magie opère. Salle euphorique sur Désenchantée, belle mise en avant des danseurs sur Sans Contrefaçon et Je t’aime mélancolie, émotion palpable sur Inséparables et un final sur « Rêver » du plus bel effet.

Autant le Live 96, le Mylenium Tour souffraient d’erreurs de montage parfois grossières, autant ce Timeless 2013 devrait satisfaire les plus exigeants d’entre nous. Pour ce qui est du mixage, difficile de juger pour l’instant sur une simple diffusion ciné mais hors mis quelques saturations (liées à l’acoustique de la Halle Tony garnier et à la salle de projection elle même), le résultat est plus que satisfaisant. On pourra évidemment reprocher une retouche de la voix de l’artiste mais sans tomber dans l’abus (ce qui n’est pas le cas ici à l’écoute des live pirates), il était évident qu’un travail à ce niveau là n’était pas dispensable. Qu’importe, Mylène Farmer est une bête de scène et ses quelques fausses notes ne sont indéniablement pas un critère de choix si l’on doit juger de la performance purement artistique. Parceque là encore, et bien même si la chanteuse reste plutôt avare en paroles, elle ne l’est pas sur son investissement scènique et artistique à proprement parler. A la pointe de la technologie, encore, sublimée par les tenues de JP Gaultier, et entourée d’une équipe technique de choix, Mylène FARMER offre ce qu’elle sait faire de mieux : des tubes que tout le monde connaît et un spectacle grandiose à faire palir les plus grands. 

Après 30 ans de carrière (on notera que suite à la parution de la demi page « hommage » achetée par les fans et parue dans Libération en début de semaine, la chanteuse a elle même acheté une page complète à paraître demain afin de les remercier de cette attention), Mylène FARMER est une star, discrète, dévouée à son public, qui se fait plaisir et qui le montre.

Quant à François Hanss, les fans ne pourront que le remercier de son travail d’orfèvre pour faire de ce live un film souvenir offrant montrant tout le savoir faire d’un travail d’équipe épique.  Vivement les bonus pour se délecter des coulisses de cette machinerie époustouflante.

Sortie du DVD/BR/Coffret Collector le 16 mai prochain.

Les précommandes sont ouvertes ICI

 

Julien Doré préfère attendre l’hiver…

 

Le dernier album de Julien DoréLØVE, est déjà un succès, couronné disque de platine. La tournée fonctionne fort bien et l’artiste propose son nouveau single, On Attendra l’Hiver.

 

Ce nouveau single succède au premier, Paris-Seychelles, qui a lancé divinement l’album.

 

Le clip est disponible et on ne va pas cacher son plaisir de le découvrir

 

 

Puggy dévoile son nouveau clip, Everyone Learns to Forget.

 

Il y a quelques mois le groupe belge Puggy sortait un excellent second album, To Win the World, soutenu par deux singles. Après un silence de plusieurs semaines, le groupe revient pour promouvoir davantage son disque et c’est la chanson, Everyone Learns to Forget, qui est mise en avant.

 

Le groupe propose de découvrir le clip de cette chanson:

 

 

Tina Arena dévoile son single, Love You Less.

 

Si on a retrouvé avec plaisir Tina Arena dans la troupe des Enfoirés, la chanteuse semble vouloir reconquérir les charts de son pays d’origine, l’Australie, où elle a sorti un nouvel album, Reset. Un disque qu’on ne trouve pour le moment pas encore en France et qui a déjà été soutenu par plusieurs titres.

 

Aujourd’hui la chanteuse dévoile son nouveau single, Love You Less.

 

 

Le nouveau clip de Birdy, Words as Weapons.

 

Après un premier album salué par la critique et soutenu par le public, Birdy est revenue avec un second opus, Fire Within.

 

La jeune chanteuse propose avec son disque de plonger encore davantage dans son univers puisqu’il s’agit ici d’un album composé de titres inédits. Son nouveau single, Words as Weapons est produit par Ryan Tedder du groupe One Republic.

 

Le clip est ici sur Influence: