L’automne sera bien entamé et nous approcherons de l’hiver quand Quentin Mosimann, lauréat de la Star Academy 2007, nous proposera son second album. Un opus dont aucune information ne circule pour le moment. Selon le planning de Mercury, le label de l’artiste, la date de sortie serait prévue le 16 novembre 2009.

Ce nouvel album sera-t-il plus personnel? Je le suppose car Quentin ne démérite pas et il pourrait s’imposer davantage avec un album original s’éloignant de son premier cd concept, Duel. Un album qui laissait la part belle aux reprises.

Toujours partagé entre le jazz et l’électro, Quentin nous a prouvé qu’on pouvait marier les deux styles sans que ce soit choquant. La réédition de son premier disque a permis de découvrir des compositions plus personnelles pour en faire un disque plus proche encore de son public. Quentin lui-même lors de ses interviews confiait que cette version améliorée, Il y a je t’aime et je t’aime, était à ses yeux son « vrai » premier album.

Si on ne connaît rien des projets musicaux de Quentin on peut lui faire confiance pour vous préparer de nouvelles surprises et pour faire un album qui va encore faire bouger mais qui va aussi lui permettre de poursuivre sa belle aventure avec le public.

Les potes fans seront au rendez-vous pour soutenir le jeune homme à la sortie de son nouvel album et espérons qu’il bénéficiera d’une plus importante médiatisation qui jusqu’ici lui a fait défaut. A tort, car sur scène, Quentin Mosimann sait dégager des émotions. C’est pour son jeune âge, un showman, qui doit encore grandir mais s’épanouit et qui savoure la chance qu’il a d’être aimé par son public fidèle.

Quentin Mosimann est aussi un artiste lucide qui avoue avec la franchise qu’on lui connaît:  » Il ne faut pas se voiler la face. Le succès et la médiatisation vont décroissant pour les derniers gagnants de la Star Ac’. Je ne pouvais pas prendre trop de temps« .

Un artiste que nous continuerons à suivre sur Influence.

Un artiste qu’on apprécie pour sa gentillesse, sa fraîcheur et son respect. Le public ne se trompe pas, il mérite bien de progresser et de réussir à s’imposer.