Stanislas, cet artiste dont Universal semble croire au talent et à son univers a rencontré la musique au début des années 80. Il n’est qu’un petit chanteur quand il monte à douze ans sur la scène du Palais Garnier pour chanter « Macbeth » (Verdi) et « La Tosca » (Puccini) à plusieurs reprises et en compagnie des plus grands ténors du moment dont notamment Luciano Pavarotti qui le surnomme alors « Petit ténor » (Rien que ça, me direz-vous), on peut dire que pour un jeune garçon de 12 ans, il y a pire comme premières expériences.
Plus tard, il trouve sa place dans la classe de direction d’orchestre à l’Ecole Normale de Musique de Paris, il à alors dix-neuf ans. Trois ans plus tard, il en sort avec les honneurs et devient l’assistant du directeur musical de l’orchestre de Massy Dominique Rouits. Encore un échelon de plus qu’il gravit.
Mais aujourd’hui, c’est lui, Stanislas, qui dirige au côté de son mentor, l’orchestre de Massy et enseigne la direction d’orchestre à l’Ecole Normale de Musique de Paris, celle-là même qui l’avait distingué. La boucle pourrait être alors bouclée.
Parallèlement à son engagement constant et son combat pour l’accès du plus grand nombre à la musique dite « classique », Stanislas compose pour différents artistes ou signe les arrangements de cordes de nombreux albums ou chansons ( Il a ainsi travaillé pour Calogero, Charles Aznavour, Céline Dion, Kool Shen, etc.).
En 2004, il décide d’entamer l’écriture de son album solo. Stanislas s’entoure de ses comparses et amis Calogero et Philippe Uminski. Son premier album L’Equilibre instable, dont il signe les musiques, les arrangements, quelques textes, la réalisation et bien sûr… la direction d’orchestre, s’annonce comme l’album incontournable de la fin d’année 2007. Influence vous le dit, c’est l’artiste à suivre chez Universal.
Il sera à la Star Academy 7 lors du prime du 21 décembre où il chantera « Le manège ».