Fatal Bazooka : le grand retour musical

Fatal Bazooka a dévoilé son dernier tube chez @BRUNOFUNRADIO ce matin http://t.co/OxIPOcPm9E #BrunoEnModeCagole

Après le succès mitigé de son titre Ce Soir Sans Mon Sexe qui marquait le grand retour de Fatal Bazooka avec un titre Dance basé sur le tube 90’s de The Bucketheads intitulé The Bomb, Michael Youn et son personnage de rappeur mégalo sont sur les starting blocks pour le tube de l’été 2015.

Un nouveau titre vient de faire son apparition , Fatal Bazooka est en mode chasseur sur K-Gol qui est une déclaration de kiffitude à la biatch made in Sud !

Un titre 100% humour avec un texte pas si niais finalement qui représente bien la cagole du sud!

Le refrain est un peu léger mais qu’importe on se bouge bien sur le titre !

K-Gol, futur tube de l’été ? Réponse dans quelques semaines, en tout cas les vues de la Lyrics Vidéo montent déjà assez rapidement !

Fatal Bazooka va faire péter le baromètre ! Chaleur !

Shy’m nous offre quelques images de son Paradoxale Tour.

Shy'm affiche Paradoxale Tour 2015 - DR

 

 

Le teaser officiel qui annonce la nouvelle tournée de Shy’mParadoxale Tour, vient d’être dévoilé. La star se produira en France, Belgique et Suisse. La tournée a déjà démarré le 27 mars 2015.

 

Shy’m sera à Bercy les 17 et 18 novembre 2015. Son dernier album, Solitaire, a été certifié disque de platine pour plus de 100.000 ventes.

Le duo, Grand Ocean, dévoile son single, The Rivers.

crédit photo: Vanessa Andrieux

 

Grand Ocean est un duo français formé par Clem (ex CKLM, maniacx et désormais Sweem) et Flo (alias Pep’s auteur du tube « Liberta »). Les deux mecs nous avaient présenté leur titre, USA, il y a quelques semaines. Ils dévoilent maintenant le titre, The Rivers, dont le clip est disponible.

 

Le premier EP, USA, sera disponible le 04 mai 2015.

 

Ils seront en showcase au China à Paris le 4 juin prochain !

Rencontre avec Rose Laurens à l’occasion de la sortie de son nouvel album A.D.N

 

La célèbre interprète du tube Africa a accepté de répondre à nos questions à l’occasion de la sortie de son nouvel album intitulé A.D.N prévu le 27 avril et composé par Pierre Palmade ; nous avons rencontré une artiste talentueuse qui possède beaucoup d’humour !

 

 

 

Pouvez-vous nous présenter votre nouvel album A.D.N ?

C’est un nouvel album avec onze nouvelles chansons qui ont été écrites par Pierre Palmade, c’est une association inattendue qui est l’aboutissement d’une belle rencontre.

J’aimais le talent d’écriture de Pierre lorsqu’il a écrit entre autres pour Muriel Robin où pour son spectacle avec Michelle Laroque, Pierre a fait énormément de choses notamment les dialogues du film Pédale Douce que j’ai adoré, c’est quelqu’un que j’apprécie énormément et je ne pensais pas du tout qu’un jour il m’écrirait mon nouvel album.

Je suis fière de cet album, tout d’abord pour cette collaboration et puis pour le fait qu’il soit un album de créations et non pas un album de reprises.

Ce qui m’importait vraiment si je refaisais un nouvel album c’était de faire quelque chose de nouveau, de repartir dans le processus de création avec un auteur, des compositeurs qui sont venus compléter la famille, il y a des gens complètement nouveaux et bourrés de talent mais aussi François Bernheim qui est un compositeur confirmé depuis pas mal d’années et qui a composé pour plein d’artistes connus.

Nous avons formé une petite famille et j’ai eu le bonheur de pouvoir retravailler comme je l’avais fais dans ma première vie de manière artisanale avec des personnes qui m’ont habillée vraiment comme j’en avais envie.

Avec Pierre Palmade ; nous avons beaucoup parlé, beaucoup échangé durant des mois et il a complètement compris ce que j’avais envie de dire très modestement aujourd’hui.

Pour un artiste, c’est toujours extraordinaire lorsque l’on rencontre les personnes qui sont exactement celles avec qui on souhaite travailler, on a les notes justes, les mots justes, cet album a vraiment été fait dans le bonheur.

Je suis très contente que mon album s’appelle A.D.N , c’est le nom également d’un des titres, c’est presque un hymne pour les nouvelles générations, c’est pouvoir vivre comme on l’entend, vivre ce que l’on aime et ce que l’on veut vivre, d’être en cohérence avec soi même et ne pas avoir peur de vivre sa vie.

 

 

Nous avons abordé votre collaboration avec Pierre Palmade mais finalement Qui a contacté l’autre en premier ?

C’est beaucoup plus amusant, dirons-nous, notre rencontre ou non-rencontre s’est faite lors d’une émission consacrée aux années 80 comme il y en a tant, Pierre était l’invité d’honneur et je venais chanter une de mes chansons, Pierre a voulu venir me saluer et je dois vous avouer que je suis complètement myope et je n’avais pas mes lunettes, il a cru que je ne l’aimais pas car j’ai tourné la tête, le pauvre, je ne l’avais tout simplement pas vu venir ( rires) et pourtant il est grand !

Le lendemain, je lui ai envoyé un petit mot d’excuse avec mon numéro de portable ; il m’a appelé très rapidement peut-être une heure après en me disant que la seule façon de me faire pardonner était d’aller prendre un verre ensemble.

On a du arriver à 14h au café et en repartir vers 17h30, on a parlé de beaucoup de choses, on a beaucoup ri aussi ce qui est très important, Pierre m’a demandé très gentiment ce que je faisais à l’heure actuelle.

Je lui ai répondu que c’était une bonne question car les personnes avec qui j’avais l’habitude de travailler dans ma première vie ne sont hélas plus de ce monde, ils ont eu la bonne idée de tous partir au même moment, je lui ai dis que je ne referais un album qu’aux mêmes conditions, c’est-à-dire avec une vraie rencontre, des gens que j’aime humainement et artistiquement et sinon cela ne m’intéressait pas, pour le moment ça ne se présentait pas et je n’avais ni la force ni l’inspiration pour écrire des textes, je n’avais tout bonnement pas envie ou plutôt envie d’un cadeau, que quelqu’un arrive et me propose des choses inattendues, un peu comme les enfants qui attendent noël, ce n’est pas le père noël qui est arrivé mais Palmade (rires)

Il m’a regardé et m’a dit «  Rose, je vais écrire votre prochain album », j’ai éclaté de rires car on ne sait jamais s’il est sérieux ou s’il plaisante, il a un côté pince sans rire.

2 jours après, il me téléphone, il m’avait déjà écrit un texte ! J’ai quitté un diner pour aller le voir directement, il m’a montré le texte de la chanson Je Valse Seule, j’ai trouvé ces mots magnifiques et nous nous sommes regardés et on s’est dit on fait un album ensemble !

 

 

Vous avez chanté plusieurs titres en Anglais, A.D.N sera-t-il adapté pour le marché international ?

J’aimerais beaucoup !

Je suis un peu comme les chats, je suis dans ma 3ème vie, celle-ci est la bonne ; mais dans première vie on enregistrait tous mes albums en Anglais, on a été numéro un en Allemagne et dans les pays scandinaves, je suis allé chanter partout, j’étais même plus connue ailleurs qu’en France.

En principe A.D.N sortira en Allemagne, au Canada et en Belgique.

J’aimerais beaucoup en faire une version Anglaise et une version Espagnole, peut-être pas tous les titres mais en faire quelques uns qui peuvent très bien se prêter à la langue.

 

 

 

Irez-vous à la rencontre de votre public en défendant l’album sur scène ?

Je n’attends que ça (rires), les moments magiques de ma vie d’artiste ; ce qui m’intéresse le plus ; c’est lorsque je suis en studio avec tout le processus de la création, et la scène parce qu’arriver à rendre sur scène ce qu’on a voulu faire dans l’album et échanger avec le public, c’est le pied !

J’ai eu la chance de faire beaucoup de scènes dans ma première vie et j’aimerais beaucoup retrouver ça, d’ailleurs l’album a un peu été pensé pour la scène, des petits moments, des histoires différentes qui seraient autant de tableaux sur scène.

 

 

Comment se vit un succès phénoménal comme Africa ?

Plutôt bien ( rires) , quand on démarre une vie d’artiste, la première chose dont on rêve bien sûr c’est d’avoir un succès, il est vrai qu’après il y a le revers de la médaille quand on a un succès aussi énorme même si on ne s’y attendait pas, la suite est un peu compliquée à gérer mais tous les chanteurs rêvent de cela ; quand le destin fait , qu’après quelques années de travail, le succès arrive , c’est fabuleux.

Une chanson vous permet du jour au lendemain de changer votre d’artiste et votre vie tout court, ça n’arrive pas à tout le monde et faut en être conscient, c’est une vraie chance, il n’y a pas d’aspects négatifs.

C’est une chanson qui est connue de plusieurs générations, les parents l’ont transmise aux enfants, il faut laisser se bercer par les jolies choses et je le souhaite à tout le monde !

 

 

Vous avez participé en 2007 et en 2008 à la tournée Rfm Party 80, auriez-vous envie de revenir à celle de Stars 80 ou à celle de Platine 45 ?

J’ai, effectivement, passé deux années très agréables en faisant la tournée des Zénith avec entre 8000 et 10 000 spectateurs, c’était une ambiance magnifique et on était vraiment étonnés d’avoir un public aussi jeune encore plus dans les villes estudiantines mais un chanteur ne peut passer sa vie dans le passé mais chacun a sa vision des choses bien sûr, j’avais très envie de continuer mon chemin et de me consacrer à un nouvel album.

 

 

Vous avez collaboré avec de grands artistes, tout au long de votre carrière, Francis Cabrel, Yves Simon, Jean-Jacques Goldman, Louis Chedid, Yves Duteil, vous retrouvez vous plus dans les mots de paroliers plutôt que de parolières ?

Non, pas forcément, je dirais que cela dépend des périodes, des rencontres…

Pour Francis Cabrel qui m’a écrit Puisque Tu Pars , c’était la première fois qu’il écrivait pour une femme et sur la musique de quelqu’un d’autre en l’occurrence Jean-Pierre Goussaud qui était mon mari et qui a composé toutes mes chansons, ce fut pareil pour Jean-Jacques Goldman qui m’a écrit le très beau texte de L’Absence, lorsque j’ai contacté Yves Simon, il m’a dit oui directement, on a travaillé ensemble dans un studio à Nation, il m’a écrit 3 textes très beaux que j’ai chanté quand j’ai fais l’Olympia, Yves Duteuil m’a écris un très beau texte également qui s’intitule Ecris ta vie sur moi, Louis Chédid m’a offert le très beau titre Nous C’est Fou présent sur mon album Envie.

J’ai moi-même écris la quasi-totalité de mon album J’te Prêterais Jamais, le dernier album composé par Jean-Pierre avant son décès, et j’avais aussi adapté en Anglais le texte de Francis Cabrel qui est devenu American Love, le succès de ce titre est venu de l’Allemagne et s’est propagé jusqu’aux Etats-Unis où je l’ai interprété dans un club gay aujourd’hui fermé mais très en vogue à l’époque The Saint, le public était venu avec une rose la main, la salle était pleine à craquer, c’est un très beau souvenir.

 

 

 

De tout votre répertoire, quel serait le titre qui vous touche le plus ?

Je les aime toutes bien sûr, si je décide qu’une chanson fera partie d’un de mes albums c’est que je l’aime et j’assume totalement mes choix, mais si je dois vraiment vous en citer une, je vous dirais la dernière chanson de mon album A.D.N , c’est d’une tristesse absolue mais pas complètement, c’est le texte de Je Vertige, c’est un beau texte qui me touche énormément, les mots sont tellement forts, c’est un petit bijou d’écriture, je pense que c’est celle là qui touche à l’heure d’aujourd’hui.

 

 

Vous sortez vos albums au feeling, vous avez choisi de ne pas être toujours sous les projecteurs, quels sont vos autres passions en dehors de la musique ?

C’est vrai que l’une de mes jolies raisons de vivre est la musique mais je m’intéresse à beaucoup de choses ; j’ai une vraie passion pour les oliviers et les mandariniers, jardiner me vide la tête, j’aime aussi le cinéma Italien, celui du temps des chefs d’œuvre, je suis une grande amoureuse de l’Italie, de villes comme Venise, Florence, Rome, la campagne Toscane est de toute beauté, j’aime voyager, j’ai même été chanter pendant un mois à Tahiti !

A vrai dire, j’aime les choses simples de la vie, être autour d’une bonne table avec des amis me remplie de bonheur.

 

 

La tradition sur Influence est de laisser le mot de la fin à notre invité…

Un beau rayon de soleil à la terrasse d’un café, c’est le début de jolis moments à venir…

 

Nous avons écouté le nouvel album de Blur, The Magic Whip

 

 

 

Plus que quelques jours d’attente pour le fans et le nouvel opus de Blur baptisé The Magic Whip sera dans les bacs !

 

On peut dire que les fans ont été plus que patients et que cet album est très attendu puisque le groupe n’avait pas sorti d’album studio depuis Think Tank en 2003 !

 

Plusieurs titres ont été dévoilés successivement depuis le mois de février afin de faire monter le buzz sur ce retour, il y a eût Go On, There Are Too Many Of Us, Lonesome Street et plus récemment My Terracotta Heart.

 

The Magic Whip est assez agréable dès la première écoute mais ce n’est pas non plus leur meilleur opus, après 12 ans d’absence on aurait pu penser que le groupe proposerait quelque chose de plus spectaculaire encore.

 

Produit par Stephen Street et enregistré à Hong Kong, The Magic Whip reste un album fort intéressant , pas suffisamment commercial dirons-nous mais qui pourrait tirer son épingle du jeu en exploitant les bons titres dont certains ont même un petit goût de Gorillaz l’autre projet de Damon Albarn.

 

On aurait peut-être préféré retrouver Blur avec la fougue d’autrefois comme sur le titre Song 2 mais The Magic Whip est plus aérien, plus zen, le groupe a vieillit il faut dire.

 

Les belles surprises sur l’album sont les suivantes : Lonesome Street,Go On, Ice Cream Man, Thought I Was A Spaceman, I Broadcast, My Terracotta Heart, There Are Too Many People ou Mirrorball.

 

Finalement, c’est quand même bien sympa de retrouver le groupe Anglais après tout ce temps, et après plusieurs écoutes l’album trouvera une place de choix sur votre chaîne ou I-Pod comme au bon vieux temps.

 

Wiz Khalifa cartonne avec le titre See You Again présent dans Fast And Furious 7.

 

See You Again le titre de Wiz Khalifa qu’il partage avec Charlie Puth est devenu un tube inconstatable du printemps 2015.

 

Le titre présent dans le film Fast And Furious 7 ; véritable poids lourd cinématographique ; permet de rendre un vibrant hommage à l’acteur Paul Walker, figure phare de la saga, décédé tragiquement le 30 novembre 2013.

 

See You Again est un petit bijou, un très bon titre Rap Downtempo, on ne peut que comprendre le record de streaming du titre qui est le plus écouté dans 26 pays dont les Etats-Unis, l’Angleterre et l’Australie et qui touche en plein cœur les fans de la saga et en particulier ceux du regretté Paul Walker.

 

Le titre jouit d’un clip poignant qui compile les plus beaux moments de l’acteur dans la saga Fast And Furious.

 

Le reste de la bande originale du film oscille entre rap et électro, une véritable compilation pour le tunning de grosses cylindrés et colle parfaitement au film !

Natalie Imbruglia reprend Daft Punk.

 

 

Natalie Imbruglia a été révélée à l’internationale en 1997 avec son célèbre tube, Torn. En Australie, son pays natal, la jeune femme avait démarré une carrière de comédienne dans le même soap qui avait révélé Kylie Minogue, The Neighbours.

 

Torn, est une chanson de l’album, Left of the Middle, qui se vendra à plus de 6 millions d’exemplaires dans le monde. Un joli succès pour cette artiste.

 

Après la sortie d’un best of en 2007, elle sort un album, Come To Life, sur lequel Coldplay participe. Depuis, la chanteuse a mis un frein à sa carrière pour se consacrer à des projets artistiques différents et s’est installée en Californie.

 

Elle vient de signer dans un label et livrera son nouvel opus le 27 juillet 2015. Un disque de reprises, Male, sur lequel elle reprend des chansons de Cat Stevens, The CureDamien RiceDaft Punk et bien d’autres.

 

C’est d’ailleurs le titre, Instant Crush, des Daft Punk qu’elle met en avant.

Quand Les Belles-Mères S’Invitent au Théâtre Trévise, Nous y étions !

 

Cette semaine se jouait l’avant-dernière représentation de la pièce Quand Les Belles-Mères S’Invitent au théâtre Trévise avec sur scène Martine Superstar, Yvette Leglaire, Cédric Portella et Jonathan Demay.

 

Cette pièce remarquable et tellement drôle est écrite brillamment par Robin Belfond, Daniel Dumartin, Stéphane Henriot et Cédric Portella, et mise en scène par Stéphane Henriot.

 

Grâce de Chambourcy, une richissime héritière de Monaco n’aurait jamais du rencontrer Claudine Maircier, chanteuse fauchée et ancienne gagnante de l’Eurovision 1963 avec son tube Au Gré Du Vent, mais leurs fils s’aiment et veulent se marier !

 

La pièce promet de bons moments entre mensonges, querelles, coups bas et secrets de famille ; c’est une réussite totale grâce également au casting haut en couleur et tout en charme, à noter aussi la présence de costumes splendides dont une robe prêtée par un jeune couturier débutant…un certain Jean-Paul Gaultier.

 

Les répliques sont percutantes et la salle rit énormément !

 

Les deux belles-mères s’en donnent à cœur joie mais qui sera la plus mauvaise ?; elles font tourner en bourrique leurs fils mais l’amour triomphe toujours.

 

Une pièce 100% gay friendly qui traite d’un sujet de société avec beaucoup d’humour et de tendresse finalement et Quand Les Belles-Mères S’Invitent fait passer un beau message.

 

Dépêchez-vous si vous voulez aller les applaudir, la dernière est Mercredi 29 Avril à 21h30 ; vous pouvez également retrouver Yvette Leglaire tous les dimanches à 22h30 au Point Virgule jusqu’au 14 juin et Martine Superstar pour son Toc-Toc Show tous les derniers lundis du mois à 20h30 au cabaret L’Artishow jusqu’au 27 juillet.

 

Le duo Vincent Niclo et Anggun, enfin le clip!

Vincent Niclo et Anggun pochette single Pour une fois - DR

 

Vincent Niclo vit un vrai rêve depuis deux ans et c’est mérité pour ce Grand Artiste. Vincent est probablement une des plus belle Voix masculine en France. L’artiste a ainsi triomphé avec son disque, Opera Rouge, où sa puissance vocale rencontrait la force des Choeurs de l’Armée Rouge. L’album a vite trouvé son public et la route du succès.

 

Ensuite, Vincent a tenu à rendre hommage à un autre grand Monsieur, Luis Mariano. Une véritable légende…Un pari relevé haut-la-main avec le disque, Luis et une nouvelle fois soutenu par le public, Vincent a gagné ses galons de star.

 

Il était donc temps pour ce ténor de présenter un album audacieux de chansons inédites. Le challenge était important…Et il a gagné! En quelques jours, l’album, Ce que je Suis, est certifié disque de Platine. Après les singles, Jusqu’à l’Ivresse, et, Divino, Vincent a décidé de sortir son duo avec la troublante et fascinante Anggun.

 

Reparti sur les routes pour aller à la rencontre de son public, Vincent a encore plein d’étoiles à faire briller.

 

Pour une Fois, titre du duo devrait poursuivre le succès de l’album, qui s’est vendu à plus de 150.000 exemplaires. 

La bande-annonce en français de Star Wars 7: Le réveil de la Force.

 

Le 18 décembre 2015, dans nos salles de cinéma, la force se réveillera avec le lancement du 7ème film de la série, Star Wars.

 

Ce qui semblait être impensable il y a encore quelques années est bien une réalité. La Guerre des Etoiles fait son grand retour sur grands écrans.

 

Like Skywalker, Han Solo, R2D2, La Princesse Leïa, ils sont de retour pour de nouvelles aventures. Ce 7ème film, Le Réveil de la Force, promet son lot de (bonnes) surprises.

 

La bande-annonce semble en tout cas fort intéressante…

L’album live d’Ysa Ferrer.

 

Le 10 janvier 2015, Ysa Ferrer, se produisait à la Cigale dans le cadre de son Sanguine show. L’intégralité de ce concert a été enregistré et est en exclusivité  disponible sur la boutique officielle de l’artiste  (cliquez ici).

 

L’album, Sanguine Live, se présente sous la forme d’un double digipack collector limité et numéroté à 500 exemplaires.

 

Pour poursuivre l’exploitation de son album, sanguine, Ysa Ferrer, propose le titre, God Save The Queen.

 

 

Une Rencontre 100% Fun et Glam avec la légendaire Yvette Leglaire !

 

Yvette Leglaire est une star, une diva, une icône, les décennies n’ont pas de prise sur elle, l’artiste a répondu à nos questions avec beaucoup d’humour, de charme et nous a fait passer un délicieux moment ! Nous avons eu beaucoup de mal à garder notre sérieux !

 

 

Comment est née Yvette Leglaire ? Quelle est son histoire ?

Yvette Leglaire est née comme tout le monde il y a très longtemps dans une rose un peu fanée, on aurait presque dit un chou.

On peut dire que j’ai eu une carrière en dents de scie, une carrière très discrète pendant des décennies et des décennies et puis d’un seul coup on m’a demandée pour un spectacle de parodie du grand concours de l’Eurovision, L’Eurovartovision, c’est un spectacle très amusant où des artistes reprennent des chansons qui ont participé au concours de l’ Eurovision, devant un jury, je suis revenue sur scène à La Cigale en 2002, je ne pensais pas qu’un jour je rechanterais et devant l’intérêt suscité par mon retour j’ai repris la route et les planches.

J’ai rencontré mon pianiste et j’ai remonté un tour de chant, je ne l’avais pas fait depuis si longtemps, nous avons joué dans des petites salles à Paris, au Festival d’Avignon en 2005 jusqu’à mon arrivée au Point Virgule en 2006 en même temps que le spectacle d’Edouard Baer La Folle et Véritable Vie De Luigi Prizzoti, à La Cigale pendant deux fois un mois, aux Folies Bergère et en tournée.

On peut dire que l’année 2006 a été le revival d’Yvette Leglaire.

Quelque mois plus tard, ma carrière était définitivement relancée avec l’émission La France A Un Incroyable Talent.

 

Comment êtes-vous arrivée dans le métier ?

J’ai tout essayé théâtre, chanson, porno au temps du cinéma muet, je suis née vieille un peu comme l’actrice Denise Grey, je suis comme Benjamin Button sauf que moi je n’ai jamais rajeunie.

 

 

Comment expliquez-vous la longévité de votre spectacle au Point Virgule, 10 ans déjà ?

Quand je suis arrivée au Point Virgule en 2006 on m’a proposé le dimanche soir à 22h30, je me suis dit que c’était intéressant de recréer un rendez-vous d’amour régulier avec le public un peu en hommage à Barbara qui était la chanteuse de Minuit à L’Ecluse ; je voulais un horaire difficile pour être sûre que le public ait envie de venir me voir moi et puis ça me permettait d’aller en province, de faire des théâtres en régions ; je voulais aller à la rencontre du public pour que ce ne soit pas à sens unique, que ce ne soit pas toujours lui qui se déplace.

Quand l’émission m’a fait décoller je me suis dit que les artistes découverts par la télé risquaient d’être oubliés aussi rapidement qu’ils étaient devenus connus, que c’était une notoriété de courte durée et que les artistes devaient prendre le temps de fidéliser leur public, il faut savoir leur consacrer du temps.

Ça m’a permis de faire évoluer le spectacle, de changer des chansons, changer des textes, le public pouvait revenir régulièrement il ne voyait pas le même spectacle, aucun dimanche n’a été pareil, le public n’est pas le même, il n’est pas le même nombre, il n’a pas la même humeur, il y a toujours des choses nouvelles, des actualités.

C’est quelque chose qui a toujours existé avant, les grands artistes créaient une fidélité avec leur public en leur donnant rendez-vous régulièrement, les chanteurs donnaient rendez-vous tous les 2-3 ans, alors que maintenant il faut le faire tout le temps pour exister sinon les gens vous oublient très vite.

Le fait de le faire le dimanche soir, dans une petite structure d’une centaine de places, ça a permis également d’étaler le public sur plusieurs mois ou années, j’ai besoin de voir mon public, d’être avec lui, j’aurais été malheureuse si j’avais fait tout de suite 1000 places.

J’ai fêté mes 6 ans en faisant Bobino le 6 novembre 2011, il y avait 800 personnes, j’ai passé une soirée fabuleuse mais j’ai regretté de ne pas tous les voir, je ne suis pas encore prête à faire Bercy mais bon on ne me l’a pas encore proposée.

 

 

Qui vous accompagne sur scène ?

Au départ de la création du récital, j’ai eu la chance de rencontrer mon pianiste Bertrand Ravalard qui m’est fidèle depuis 12 ans maintenant, il était jeune et beau à l’époque, il n’est plus aussi jeune mais toujours aussi beau, nous avons démarré un spectacle piano-voix, ce qui me permettait aussi d’aller en province pour faire des spectacles avec lui ou sur bandes son.

Je peux m’adapter en toutes circonstances : je fais des mariages, des anniversaires, des revues, de l’animation dans des bars, je fais parfois des enterrements mais c’est difficile de les prévoir à l’avance.

Il y a 2 ans à l’été 2003, j’ai eu envie de faire un spectacle beaucoup plus dance pour plaire au public de djeuns qui venait me découvrir et qui peut-être avait envie de quelque chose de plus moderne, j’ai remixé des chansons, j’ai eu mes premières créations, j’avais un peu senti ce virus de la dance quand j’ai fait mon Bobino,j’avais 6 danseurs et j’avais interprété une chanson originale que m’avait offert Ysa Ferrer, on avait remixé avec l’équipe d’Ysa : Les Petits Papiers et aussi Poupée de Cire, Poupée de Son.

Pour voir quel serait l’accueil du public et parce qu’il fallait bien démarrer avec un premier single, j’ai crée en 2013 ma célèbre Leglaire Dance et nous avons fait un spectacle d’été où l’on transformait le Point Virgule en boite de nuit avec tout ce qui peut arriver dans une boite de nuit, il y avait un slow, les gens venaient danser sur la scène, c’était très sympa et original ! J’ai engagé un danseur, Philippe Benamou, merveilleux, qui tourne avec moi depuis 2 ans ; à la différence du pianiste avec lequel il y a une histoire de séduction, là c’est plutôt une relation avec un danseur à priori d’un autre bord qui se rapproche de moi parce que les gays aiment les divas et il voudrait même m’épouser car je suis un peu sa mère, sa sœur, sa tante et néanmoins la femme de sa vie.

10 ans de spectacle au Point Virgule ce n’est pas rien alors j’ai eût l’idée de faire ce spectacle dance en alternance avec le tour de chant piano-voix en accord avec la salle ; j’ajouterais que l’entente entre le pianiste et le danseur est très bonne.

Ce spectacle me rapproche des grands spectacles que j’ai adoré comme Dalida au Palais des Sports ou Sylvie Vartan avec un petit côté show à l’Américaine, c’est un mélange entre la chanteuse réaliste, la danse, la présence du danseur, le pianiste, les lumières, les lasers, de la fumée, des machines à bulles…C’est un vrai show où se passe beaucoup de choses, les gens sont heureux et finissent par danser.

J’espère que ce spectacle va tourner encore longtemps !

 

Diriez-vous que vous êtes une diva burlesque, une véritable icône Gay ?

Une diva, oui, je suis un peu une maxi tête de Barbara, Zizi Jeanmaire, Edith Piaf etJuliette Gréco, vous voyez un peu le mélange ! Et burlesque parce que je n’ai pas leur talent, chacune a son propre talent, son univers, Barbara c’est une présenceet des chansons magnifiques, Juliette Gréco c’est une voix particulière, Zizi Jeanmaire c’est la danse, Edith Piaf c’est une grande voix.Toutes ont tellement de présence, d’émotion et de talent.

Je me suis beaucoup inspirée de ces femmes que j’ai aimées tout en ayant une voix assez particulière, un physique assez particulier mais je pense être une diva car je leur rends hommage avec beaucoup d’humour et sans prétention, je suis un clone de ces femmes et un clown burlesque !

Mon public est très friand de ces grandes dames et il les retrouve un peu en moi, si parfois j’arrive ; notamment chez les jeunes ; à ce que certains écoutent les vraies versions des chansons, les vraies paroles, les vraies orchestrations, les vraies voix alors là je pense que j’aurais gagné mon pari.

C’est un peu comme les travestis qui travaillent sur les ressemblances sauf que moi je suis une vraie femme, qui ne ressemble à rien…

 

 

Vous êtes également jusqu’à la fin du mois encore au théâtre Trévise dans la pièce Quand les belles-mères s’invitent ; Pouvez-vous nous présenter la pièce ?

Comme je ne chante que le dimanche soir au Point Virgule, j’ai le temps de faire autre chose et j’ai toujours aimé faire du théâtre et j’avais très envie aussi de montrer d’autres facettes de moi.

J’ai la chance de co-écrire cette pièce et de la jouer, mon personnage s’appelle Claudine Maircier, c’est une fausse chanteuse qui aurait gagné l’Eurovision en 1963, j’ai un fils, j’ai un gendre, c’est amusant de jouer une autre histoire, il y a une autre belle-mère, il y a plein d’histoires rocambolesques.

On peut se permettre beaucoup plus de choses au théâtre.

Dans la chanson, on est soi, on doit éviter la vulgarité, on ne pas tout dire, on a une certaine classe, on a une image à garder, quand on joue un rôle on peut tout se permettre, Claudine Maircier ne vient pas d’un milieu extrêmement évolué, elle arrive par exemple en disant « il fait chaud, j’ai le pâté qui colle à la boite » moi Yvette Leglaire je ne pourrais pas le dire.

C’est intéressant de s’ouvrir vers d’autres choses.

On a cette chance que la pièce se joue depuis plus d’un an et on y retrouve une chanson que j’ai écrite et qui fait très Eurovision 1963.

J’espère faire une autre pièce, il y a tellement de choses que je voudrais encore faire !

 

Pouvez-vous nous présenter votre partenaire Martine Superstar ?

Martine est une autre comédienne qui endosse le rôle de Grâce De Chambourcy, elle a le rôle d’une bourgeoise qui habiterait sur le rocher de Monaco, c’est une rencontre un peu improbable entre deux femmes de milieux complètement différents qui ont toutes les deux des fils qui vont décider de se marier, c’est un véritable branle-bas de combat, on ne sait pas qui est la plus mauvaise des deux car Grâce veut tout faire pour que son fils ne se marie pas et Claudine est prête à tout pour récupérer de l’argent car elle est ruinée ; le bonheur et l’amour triompheront quand même malgré tout un tas d’histoires !

 

Yvette au cinéma, ça serait dans quel genre de films ? Avez-vous déjà eu des propositions ?

J’ai fait beaucoup de porno, c’est un peu particulier, on donne beaucoup de sa personne !

Le cinéma, je ne suis pas sûre d’avoir très envie, j’ai fait quelques court-métrages pour des écoles car ça me faisait plaisir mais je n’aime pas ce qui est figé, un spectacle ou une pièce de théâtre c’est toujours différent, j’aime vivre et être avec le public, je ne suis pas sûre de l’image.

Après ça peut paraitre un peu contradictoire mais cette année j’ai décidé de faire un vrai album, un disque c’est un peu comme le cinéma c’est figé mais c’est un peu différent car chacun en fait ce qu’il veut !

Le disque c’est une histoire d’amour, vous l’achetez car vous aimez quelqu’un et puis ça sera des chansons qui vont grandir, continuer à vivre, car je les chanterai sur scène.

 

Justement, ma dernière question était : Travaillez-vous sur un nouvel album actuellement ou un nouveau spectacle ?

Alors oui, ce sera mon premier album car avant je n’avais sorti qu’un single avec 3 titres où il y avait la Leglaire Dance, le titre offert par Ysa Ferrer qui s’intitule J’ai des Extrasystoles et la chanson que l’on retrouve dans la pièce Au Gré du Vent version 63 et version remix.

Je me suis dit que cette année il était temps que je fasse un vrai album avec 2 faces, c’est un cd attention ce n’est pas un vinyle mais il y aura 2 faces, des choses un peu provocantes, il faut que je sois un peu provocatrice sinon personne ne s’intéressera à moi donc avec des thèmes plus osés mais tout en restant dans le ludique l’amusement, et puis il y aura des chansons plus Leglairiennes dans le sens vieilles chansons avec des choses que j’ai à dire, des belles chansons, des balades…

Je ne compose pas les musiques mais parfois j’ai des petites idées musicales donc j’en parle à Daniel Castano, merveilleux compositeur et arrangeur, qui les compose, les musiques donneront le ton des chansons finalement.

Quand la pièce des belles mères va s’arrêter, je vais vraiment me mettre à l’écriture de mes chansons.

Suite à cet album, je préparerais un nouveau spectacle pour 2016, après le Best Of.

 

La tradition sur Influence est de laisser le mot de la fin à notre invité…

Je vais en profiter alors afin de m’exprimer à propos de Facebook, je ne comprends pas que l’on puisse supprimer le profil d’artistes sous prétexte d’une vérification d’identité, on est de plus en plus dans un monde où l’on ne sait plus quoi faire quand ça ne fonctionne plus, nous ne nous appartenons même plus finalement, on ne peut plus décider soi-même, on a besoin paradoxalement de ces réseaux sociaux pour continuer à se faire connaitre, dialoguer, ça fait toujours un peu peur quand ça ne fonctionne plus.