Souvenirs: Mylène Farmer/ Souviens-toi du jour (1999)

 

 

Terminons nos souvenirs avec cette chanson de Mylène Farmer, Souviens-toi du jour… single extrait de l'album, Innamoramento.

 

La chanson fait référence au livre de Primo Levi, Si c'est un Homme. Il y relate à travers les pages son histoire vécue dans les camps de concentration. À la fin de la chanson, Mylène chante "Zakhor et yom", ce qui signifie "Souviens-toi du jour" en hébreu.

 

Le clip est une nouvelle fois confiée à Marcus Nispel. Il n'est pas scénarisé.

 

Le clip

 

 

En Live en 1999 lors du Mylènium Tour

 

Et lors de sa prestation TV à Tapis Rouge sur France 2. La robe qu'elle porte ne passera pas inapperçue comme le dit si bien Michel Drucker.

 

Mozart en Web-Série

 

Insula Orchestra, Accentus et Laurence Equilbey :
Mozart Requiem
Sortie le 29/09/2014

 

 

 "J’ai voulu que ce disque soit emblématique, c’est pourquoi j’ai choisi l’un des grands chefs d’œuvre de l’époque classique." Laurence Equilbey

Voici Le Mozart Requiem, la partition mythique de Mozart, dont le contexte de création reste encore aujourd’hui nimbé de mystère et qui a été enregistré au Château de Versailles par la chef d’orchestre Laurence Equilbey et Insula orchestra, son ensemble sur instruments d’époque.

Le choeur Accentus, à la discographie déjà largement récompensée par la presse musicale, prend bien sûr part à ce premier enregistrement, réalisé au château de Versailles par le label Naïve. Quatre solistes vocaux de premier plan participent à ce disque-événement : la soprano Sandrine Piau au timbre diaphane, la contralto italienne Sara Mingardo, le ténor allemand Werner Güra et le baryton anglais Christopher Purves.

En parallèle du disque, Laurence Equilbey et son équipe vous proposent de vivre et de découvrir l’enregistrement depuis les coulisses, grâce à une web-série décalée, à mi-chemin entre le reportage et le film documentaire : le Log book / Journal de bord.

Lorenzo veut déceler les mystères du chef d'orchestre et comprendre la construction de ce mythe incroyable. Laurence Equilbey, Insula Orchestra, et le chœur Accentus se prêtent au jeu et à l'exubérance du grand adolescent.

Profitez de ce docu-fiction au ton décalé pour découvrir les coulisses d'un enregistrement et des solistes d'exception : Sandrine Piau, Sara Mingardo, Werner Güra, et Christopher Purves.

Lundi 15 septembre : Épisode 1
Jeudi 18 septembre : Épisode 2
Lundi 22 septembre : Épisode 3
Jeudi 25 septembre : Épisode 4
Jeudi 2 octobre – 19h : Épilogue

     
 

Et en exclusivité les deux premiers épisodes

 

Souvenirs: Mylène Farmer: Je te Rends ton Amour (1999)

 

 

Sulfureuse, Mylène Farmer l'a souvent été. Le clip qui accompagne la chanson, Je Te Rends Ton Amour, en témoigne encore une fois. Mylène se voit censurée par les plus prudes. Le clip est un mélange d'images religieuses, de sang, de nudité.

 

Mylène qui n'aime pas la censure trouve une parade, Ok on passera son clip dans son intégralité tard le soir, Ok il y aura une version censurée diffusée plus tôt en journée mais la chanteuse sortira la K7 Vidéo dans les kiosques. Les ventes seront reversées au Sidaction.

 

 

 

Et lors de la Fureur présentée par Arthur

 

Jessy Matador fait sa rentrée!

 

Jessy Matador frappe fort en cette rentrée avec son nouveau single  « Zuluminati » !
Sur un beat electro et des rythmiques africaines traditionnelles, il part à la conquête des dancefloors après nous avoir fait danser sur ces tubes « Décalé Gwada », « Allez Ola Olé » ou encore « Zumba He Zumba Ha (Remix) » !

 

Souvenirs:Mylène Farmer/ California (1996)

 

 

Continuons notre hommage à Mylène Farmer à l'occasion de son anniversaire. Toujours sur l'album, Anamorphosée, Mylène, propose un voyage en Californie où elle s'est exhilée après le tournage du film, Giorgino.

 

California, est une chanson qui tient à coeur la chanteuse, elle la chante dans tous ses concerts.

 

Le clip est réalisé par Abel Ferrara.

 

En 2012, le groupe, Mutine, reprend la chanson.

 

On va se replonger en 1996 pour l'unique passage TV de la star avec ce titre. C'était dans Les Années Tubes avec Jean-Pierre Foucault sur TF1.