img146/6746/10354unecourbetcn5.jpg

Julien Courbet a quitté TF1 (le service privé) pour France 2 (service public). L’animateur espérait que le public le suivrait dans ses nouvelles aventures. Sur France 2, elles se résument à une émission  » Service maximum » diffusée tous les jours sauf le vendredi à 18h55.

Ce choix a été personnel puisque l’animateur révèle que son cachet est réduit de 45%. « J’ai moins d’argent que Ruquier« , justifie-t-il dans les colonnes du Parisien, « et j’en mets plus à l’antenne puisque j’ai un plateau, un public, une grue qui coûte cher pour faire de beaux plans, et si reportages. » Et il n’est pas le seul à devoir mordre sur sa chique. « Mes chroniqueurs ont fait un effort », confie-t-il.

Voudrait-il se plaindre? Julien Courbet n’arrive malgré sa popularité a faire décoller les audiences de son émission. Une émission qui perd en plus un chroniqueur, ami de 15 ans de Courbet, Nicolas Rossignol. Ce dernier s’en va sans aucun doute mais sans problème avec son patron. Si Nicolas quitte le navire (avant qu’il ne coule?) c’est pour s’occuper de son association  » Tout le monde chante contre le cancer ». Une association qui donnera un concert le 06 novembre 2008 à l’Olympia. Signalons pour la petite histoire que Nicolas est un ami de Nikos Aliagas (participera-t-il à ce concert, lui qui pousse la chansonnette?).

Si les audiences de Courbet sont loin d’être remarquables, son collègue Christophe Hondelatte, qui officie le vendredi à la même plage horaire que Julien, connaît quelques sueurs froides car il est en chute libre et il se murmure que le service maximum de Julien pourrait connaître une extension et être diffusée le vendredi à la place de Hondelatte.

Au Parisien, Julien Courbet n’hésite pas à dire:  « Sur TF1, la loge était plus équipée, avec un beau bouquet de fleurs, une grande corbeille de fruits et un cadeau, comme un lecteur MP3, pour l’invité. Là, on n’offre qu’une bouteille de champagne. » Une bouteille de champagne qui pourrait se terminer par une canette de coca si l’émission ne progresse pas dans les audiences.